Résumé :
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Cette recherche traite un sujet tourne autour de la théorie de la «transtextualité» du poéticien français Gérard GENETTE et sa formation chez les occidentaux, cela qu'aucune des questions n'a préoccupé les critiques et les chercheurs modernes autant que la question des méthodes littéraires et les façons avec les quelles on traite les textes ; le texte est considéré comme l'un des nouveaux concepts, qui a commencé à prendre une place importante dans les études des occidentaux et les orientaux,qui a fait que les théories autour de lui différent,de sorte que le point focal varie d'une période à l'autre,il a été porté autour de la créativité,du texte et finalement du récepteur,mais depuis que le terme Intertextualité ensuite Transtextualité est propagé dans la fin des années quatre vingt qu'il séduise davantage la diligence des chercheurs…car le texte de l'écrivain ne se trouve pas en isolement du monde ou de l'écrivain lui même,et on ne peut pas contenir les filets de ces textes que l'écrivain a traité sauf si on revient à une théorie de principes.C'est la théorie de la «Transtextualité» qui comprenait d'autres relations qui ont été marginalisées,et ceci été depuis 1979 jusqu'à 1982,qui est considéré comme date officielle de naissance de ce terme,mais ce que nous intéresse c'est la relation de l'«Hypertextualité» qui a acquis le livre de Palimpsestes plus que d'autres relations. L’étude a été divisée en trois chapitres principaux, j’ai énoncé dans le premier chapitre l'histoire de la notion «Transtextualité», depuis que la critique Bulgarie Julia KRISTEVA a proposé le terme intertextualité, qu’elle a recueillie de son maître M.BAKHTIN dans ses études sur le romancier russe Dostoïevski en arrivant à comment elle a préféré le terme «Transposition».j'ai bénéficié dans cette partie des efforts du groupe Français «Tel Quel»en évoquant Micheal RIFATTERRE et la façon de la cristallisation du concept chez lui,ainsi Philippe SOLLERS,Roland BARTHES et autres. Sur cette base, j’ai profité de ce grand projet mis en avant par GENETTE, qui présente en cas de son application une théorie complète sur la façon de surveiller 217 les différents types de relations mises en places par les textes les uns avec les autres, j’ai également énoncé les cinq aspects de la «Transtextualité», qui sont: L’Intertextualité, Paratextualité, Métatextualité, Architextualité,Hypertextualité. En ce qui concerne le deuxième chapitre je l'ai consacré à l'étude de la relation de l'«Hypertextualité» dans les études critiques modernes, et j'ai trouvé qu'il a une profonde relation avec l'informatique, c’étais le premier domaine dans laquelle il était utilisé, de sorte que les textes électroniques soient à l'attribut de «l'interdépendance», chaque nœud ou lien vous renvoie à un autre texte,et c'est la même idée qui sous-tend la théorie de G.GENETTE,et d'ici j'ai mis une introduction ou j'ai définis ce nouveau texte,et cela ne sera possible seulement en le comparant avec le texte classique,et j'ai trouvé que les chercheurs avaient accepté de les divisé en deux classes qui sont l'«Hypertexte»et le«Cybertexte» que je n'ai pas trop développé la recherche,je me suis arrêtée amplement dans le premier type en exposant les plus importantes définitions et concepts qui lui sont proposés dans certains dictionnaires et encyclopédies occidentaux célèbres,puis j'ai éclaircis sa future relation avec le domaine de la critique et de la théorie littéraire,alors je suis retournée à certains de ceux qui ont repéré cela comme:Roland BARTHES,Jaques DERRIDA, Micheal FOUCAULT… Dans la deuxième section du chapitre II, j’ai parlé de la notion de l'«Hypertextualité» chez G.GENETTE, en retournant à son livre Palimpsestes, et j'ai identifié l'emplacement de l' «Hypertexte» dans la théorie de la «Transtextualité», et j'ai trouvé qu'il s'est classé en tant que la sixième relation textuelle dans son projet, ainsi j'ai abordé ses deux types en donnant des exemples illustratifs. Le troisième chapitre était consacré à étudier l'impact de cette théorie française sur le travail et les expériences de certains étudiants arabes qui ont pris les idées de G.GENETTE par la pratique, d’où le titre de ce chapitre «l'application des propositions de G.GENETTE chez certains étudiants arabes» et les modèles sélectionnés ont été ceux de Saïd YAKHTINE, Omar ABD ELWAHED, Hassan 218 HAMMED.En se concentrant sur trois niveaux :le niveau du terme,le niveau théorique et le niveau pratique.Bien sûr,j'ai fait une comparaison entre les trois modèles pour me lever sur le succès ou son absence en saisie de la théorie précédente. Et j'ai atteins -après une tournée dans ce thème-un ensemble d'idées peut être la plus particulière était le fait que l'intertextualité est apparue initialement en Europe sous la main de J.KRISTEVA,ainsi qu'il est propagé en critique moderne en particulier chez les sémiologues français qu'ils l'ont colporté. Tandis les idées de GENETTE ont trouvé un écho chez certains étudiants arabes, chacun d'entre eux a donné sa propre compréhension du fonctionnement de sa théorie, et Saïd YAKHTINE était parmi les premiers qui a aboutis une expérience réussie pour l'application de ses propositions, il a abordé quelques romans modernes en appuyant sur deux entré : l’entrée de la poétique et l'entrée de la sociologie du texte. Quand à Hassan HAMMED, son expérience était un essai particulier de lire GENETTE, néanmoins les notions et les termes employés dans la partie théorique et la partie pratique ont été caractérisée par un sens d'ambiguïté, tandis que Omar ABD ELWAHED a traité le genre d' (elmakamet) et il est arrivé que le grand créateur arabe ELHARIRI a écrit ses œuvres à l'opposition aux œuvres d'ELHAMADHANI,et que ses textes ont exercé des transformation majeurs.
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